Outside : la Stansiya

Avec difficulté, Adrián réussit à rejoindre le toit d’en face. Il souffla un coup, il avait évité le pire. Il pouvait voir au lon le fameux bâtiments qu’il recherche.

Adrián attendit pour reperer si des gardes faisaient des rondes, et le temps qu'il y avait entre deux rondes de gardes pour pouvoir se faufiler jusqu'au batiment sans etre vu.

Adrián ne remarqua aucune périodes quelconques entre deux rondes, il devait donc se faufiler seul et atteindre son objectif discrètement. Il remarqua deux passages soit par les toits soit par les rues.

Adrián décide de passer par les toits pour pouvoir se cacher si un garde passait. Il rampa sur les tuiles avant d'arriver sur un nouveau batiment, toujours couché. Il voyait le batiment principal se rapprocher à mesure qu'il avançait.

Au fur et à mesure qu’il avançait Adrián se rapprochait du bâtiment, cependant il s’arrêta brusquement pour rejoindre le bâtiment il devait sauter à travers une fenêtre ouverte.

Adrián se pencha poir voir le bas du batiment, il n'y avait pas de gardes en vue mais un pouvait sortir à tout moment d'un angle de rue. Adrián jaugea la distance entre son toit et la fenetre, il jeta un oeil à l'interieur, puis ne voyant personne, il s'élança.

Adrián courrut et sauta parfaitement, il traversa la fenêtre et se réceptionna parfaitement. Il atterrit dans une salle vide d’hommes mais dans laquelle se trouvait un bureau.

Adrián dégaina son couteau, aux aguets. Il commença la fouille du bureau. Mais il y avait des dossiers de partout et il n'était meme pas sûr d'être dans la bonne pièce.

Adrián fouilla la pièce mais entendit un bruit suspect dans le couloir. Il vit sur le bureau un chevalier sur lequel est marqué : M. Porochenko intendant.

Adrián se glisse sur un bord de la porte, au cas où elle s'ouvrait et attendit que la personne rentre.

Adrián resta le plus discret possible et vit l’homme entrer dans la salle, celui-ci ne semblait pas l’avoir vu.

Il ferma la porte d'un coup et se précipita sur l'homme, dans son dos.

L'homme se retourna brusquement lorsque Adrián claqua la porte, armé de son couteau il s'élança mais fit une chute lamentable.
L'homme qui venait d'entrer regarda la scène bouche bée et ne comprit rien.

Adrián se releva d'un coup en maudissant la planche mal encastrée. Un peu étourdi, il leva son couteau en direction de l'homme. Il lui chuchota : "Pas un mot, pas un geste, et tout ira bien...tu vas lentement t'approcher du bureau et me sortir le dossier sur les arrivées de train dans les jours qui vont suivre, en particulier un beau train qui amène un beau cadeau pour notre beau tsar."

L'homme vit le couteau d'Adrián et essaya de le calmer, " D'accord d'accord attendez, vous cherchez qui déjà ?" répondit l'homme

Adrián répéta : "Je cherche le train qui amène plein d'armes pour le tsar...fais vite".

L’homme sous pression regarda Adrián et répondit : « Mais mais je n’ai pas ces informations moi ... »

"Alors où ce trouvent le calendrier d'arrivées des trains ?" lui dit Adrián, de plus en plus agressif.

« euh...euuh à l’étage au dessus, je peux vous y emmener si vous ne me tuez pas. » répondit l’homme effrayé et affolé par la situation.

"Ne vous en fait pas, tant que vous coopérez je ne vous ferais pas de mal. Si vous arrivez à m'emmener à l'étage sans encombre je pourrais meme vous donner un peu d'argent en guise de remerciement. Maintenant, avant de partir, j'ai besoin de savoir si la pièce est juste au dessus de nous et si elle comporte une vitre semblable à celle que je vous ai brisé ?"

" Eh bien suivez-moi " répondit l'homme.
Il vérifia que personne n'était dans le couloir et monta à l'étage avec Adrián, il ouvra le bureau recherché et donna les papiers à Adrián, il y avait le nombre de gardes affectés, leurs heures de passages, l'heure d'arrivée du train et toutes les infos essentielles dont il avait besoin.
" Ne me tuez pas je vous en supplie..." rétorqua l'homme à Adrián, cependant celui-ci avait vu son visage et allait probablement le dénoncer, de plus le fait qu'il sache ce que cherchais Adrián pourrait probablement ruiner l'opération. Ils étaient tout les deux dans le bureau, Adrián pouvait le laisser en vie, où le tuer, ou lui enlever la parole...

Adrián regarda l'homme et lui dit "Dans tout les cas, si c'est pas moi ça sera le tsar quand il découvrira que t'as vendu la mèche". Il dégaina sa lame et s'élança pour trancher la carrotide.

Adrián s’élança et d’un coup net trancha la gorge de l’homme. Celui-ci se tint la gorge, et regarda Adrián dans les yeux, « pourqu..oi » dit il avant de tomber par terre gisant dans une flaque de sang.

Adrián chercha une sortie discrète autour de lui.

Adrián distingua 2 moyens de s’enfuir, remonter sur les toits ou s’enfuir par les rails du train.

Adrían choisit de passer par les toits, il sauta par la fenêtre et s’agrippa à une gouttière et s’enfuit. Il fit le chemin inverse et retrouva le côté autorisé de la gare. Malgré quelques péripéties il rentra au bar.